Chers confrères, chers amis,
Depuis cet été, le nouveau bureau de notre URPS est à l’œuvre.
Je tiens à vous faire un point d’étape, avant que ne commence le travail essentiel pour l’Union des commissions.
Dès l’élection du 5 juin, je vous ai donné mon objectif principal : défendre l’exercice libéral sur notre territoire.
La mère de toutes les batailles reste la démographie libérale.
Une étude récente de la DREES montre que l’exercice libéral est passé de 51,4 % en 2012 à 44,1 % en 2021. Alors même que le nombre de médecins est stable. Ces chiffres doivent nous interpeller. L’exercice libéral n’attire plus. Trop contraint, trop chargé, les modèles que nous proposons n’attirent plus nos jeunes confrères qui recherchent un exercice mieux adapté à leurs préoccupations.
Il nous appartient d’agir pour redonner le gout de l’exercice libéral à nos confrères. Et par là améliorer l’accès aux soins.
Cela passe par la formation, avec la création de liens plus forts avec les facultés, pour les spécialistes en médecine générale, notamment afin de promouvoir les stages en zone rurale et pour les autres spécialistes, en développant les stages en libéral. Nous faire connaître et nous faire reconnaître comme faisant partie du cursus de formation de tout médecin.
Cela passe par l’organisation des soins dans les territoires, à l’initiative des libéraux, pour éviter des décisions politiques inadaptées et déstructurantes. Pour cela il nous faut proposer des solutions crédibles et fonctionnelles
Cela passe aussi par le développement du numérique en santé, qui permet d’améliorer l’accès aux soins et de favoriser l’expertise médicale, notamment libérale, mais aussi hospitalière, partout dans nos territoires.
Pour répondre à ces objectifs, nous avons commencé à agir.
• En obtenant des moyens supplémentaires : Un CPOM (contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens) de 900 000 euros sur trois ans vient d’être signé avec l’ARS, permettant l’embauche de cinq chargés de mission. Ils seront chargés d’aider les territoires à organiser les soins, en fonction de leurs projets.
• En fédérant : Nous avons, après discussion avec l’ARS, obtenu que soit réunis, dans un comité de convergence, ARS, CPAM, URPS et FORMS, pour construire en amont les projets, en évitant une dispersion des moyens, voire une concurrence sans objet.
• En obtenant que nos outils soient portés par le GRADES : Plusieurs réunions de cadrage ont eu lieu, au cours desquelles nous avons exprimé d’abord notre étonnement, puis notre incompréhension face à l’absence de portage de l’application MEDICAM dans SPICO (et donc des freins mis à son utilisation). Nos actions au plus haut niveau, ont permis de relancer ces actions.
• En continuant la modélisation du SAS 31 : Le bureau du SAS a été recomposé. Cyrille Chaugne est maintenant président et Jean-Marc Castadère trésorier. Avoir ces deux élus à la tête de l’association qui gère le SAS était essentiel pour garder cette expérimentation dans le giron libéral.
• Par ailleurs nous sommes en train de négocier avec la CPAM, le déblocage des budgets régulation des CPTS à partir d’une fiche action simple que nous sommes en train d’écrire. Cela signifie près de 4 Millions d’euros pour nous aider nos CPTS à organiser la réponse à la DSNP dans les territoires.
Les contacts sont multiples, enrichissants, comme avec ICOPE, Domoplaies et Occitadys que nous avons décidé de proposer aux CPTS.
Instructifs aussi pour nos élus, comme dans la réunion que j’ai eue avec le conseil régional, au cours de laquelle j’ai réaffirmé que la solution des 200 médecins salariés n’était ni entendable, ni applicable sans concertation préalable.
Le message est passé et nous allons constituer avec le Conseil Régional une cellule « démographie »
Le travail ne manque pas, et le bureau attend avec impatience la mise en place des commissions et la force du groupe URPS pour proposer et agir dans nos territoires.
À bientôt,
Jean-Christophe Calmes
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La revue de presse de l’élection
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Bassin de Thau : le docteur Calmes devient le président des médecins libéraux d’Occitanie
Le praticien frontignanais a été élu le lundi 7 juin. Il est également président de la Communauté professionnelle territoriale de santé du bassin de Thau.
Le docteur Calmes, médecin généraliste à Frontignan, au sein du cabinet médical Mistral santé, vient d’être élu, lundi 7 juin, et pour cinq ans à la tête de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS) Médecins libéraux d’Occitanie, qui regroupe 12 400 médecins libéraux répartis sur les 13 départements de la région Occitanie. Cette organisation est l’interlocuteur privilégié de de l’agence régionale de santé et contribue ainsi à l’offre de santé régionale. Le praticien frontignanais succède au docteur Maurice Bensoussan, psychiatre à Colomiers (31).
Ce n’est pas la première fonction élective de Jean-Christophe Calmes qui préside actuellement la CPTS (Communauté professionnelle territoriale de santé) du bassin de Thau qui gère la vaccination contre le Covid sur le secteur. Il est également vice-président du Syndicat MG France depuis 2015, syndicat dont il a été le secrétaire général adjoint de 2018 à 2020.
Sa carrière
Agé de 59 ans, Jean-Christophe Calmes est docteur en médecine, spécialité médecine générale et diplômé de médecine d’urgence (CAMU). Il a débuté sa carrière aux hôpitaux de Montpellier de 1990 jusqu’en 1993, puis à Saint-Pierre de la Réunion comme responsable du service UHCD (Unité d’hospitalisation de courte durée) jusqu’en 1995. Il s’installe ensuite à Frontignan, en cabinet libéral individuel puis crée en 2004 avec ses associés une maison médicale devenue MSP (Maison de santé plutiprofessionnelle) en 2018.
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Le Journal Toulousain
4 questions à Jean-Christophe Calmes, nouveau président des médecins libéraux d’Occitanie
Par Philippe Salvador
Jean-Christophe Calmes, tout nouveau président de l’Union des professionnels de santé Médecins libéraux d’Occitanie témoigne de leur mobilisation face à l’épidémie de la Covid-19 et appelle à une réforme structurelle du système de soins français. Interview en quatre questions.
Jean-Christophe Calmes, nouveau président de l’URPS Médecins libéraux d’Occitanie appelle à une réforme du système de soins français @JCCalmes
Le Journal Toulousain : Comment les professionnels de santé libéraux ont-ils traversé la crise sanitaire ?
Jean-Christophe Calmes : Ils ont fait un énorme boulot, toujours au service de la population. Dès le début, ils sont restés sur le pont, en maintenant leurs cabinets ouverts, alors que les hôpitaux étaient débordés. Sans masque ou équipement de protection, ils ont tenu bon. Tout le monde a voulu se rendre utile. Les cliniques ont libéré des lits pour les patients Covid, les médecins généralistes, spécialistes, infirmiers ou pharmaciens ont participé à la prévention et organisé les centres de dépistage. Ensuite, ils ont aidé à la prise en charge de la vaccination, notamment pour les personnes isolées. Ils ont fait preuve d’une incroyable capacité d’organisation. En un rien de temps et à partir de rien.
Qu’est ce qui vous a le plus marqué lors de cette mobilisation ?
Les professionnels de santé libéraux se sont montrés particulièrement soudés face à l’épidémie. Je parlerais même d’une union sacrée. Alors qu’ils avaient l’habitude de travailler de façon isolée, ils ont appris à collaborer. Profitons de ce qui s’est passé pendant cette crise majeure, pour se préparer à d’autres. Et renforçons les liens forts qui ont été noués. Je ne crois pas à l’exercice solitaire de la médecine libérale, nous sommes tous interdépendant.
Quelle modification du système de soins appelez-vous de vos voeux ?
Il faut le réorganiser au profit de la médecine libérale. Beaucoup d’argent a été investi dans l’hôpital français, qui est en avance dans les comparaisons internationales. C’est le contraire pour nos soins primaires et notre prise en charge à domicile. Or, cette dernière va connaître une forte demande, à l’horizon 2030. Avec le vieillissement de la population, il y aura davantage de personnes âgées qui voudront être maintenues chez elles. La Caisse nationale d’assurance maladie évoque même ”une transition épidémiologique”. Il faut axer le système de soin, non plus sur l’excellence hospitalière, mais sur la prise en charge à domicile de patients complexes et polypathologiques. Une telle transition ne peut pas se faire sans moyen.
Les avez-vous chiffrés ?
Lorsque l’on compare les systèmes des pays de l’OCDE, 33 % des budgets de santé sont consacré à la médecine libérale et 28 % à l’hôpital. En France, les chiffres sont exactement inverses. Sur un budget global de plus de 300 milliards d’euros, la différence représente 5 milliards d’euros. Cela donne une idée de l’importance de l’enjeu. Le rééquilibrage ne pourra pas se faire d’un seul coup. Nous demandons un alignement progressif des budgets. De manière à ce que les deux modèles se retrouvent sur un même plan, constituant un système de soins solide, porté par la sécurité sociale. Mon rôle, à la tête de l’URPS Médecins libéraux d’Occitanie sera, entre autres, de porter ce message et d’y faire adhérer un maximum d’autres représentants régionaux.
Le docteur Jean-Christophe Calmes, médecin généraliste à Frontignan, vient d’être élu à la tête de l’Union Régionale des Professionnels de Santé (URPS) Médecins libéraux d’Occitanie, qui regroupe 12 400 médecins libéraux répartis sur les 13 départements de la Région.
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La lettre M.fr
Jean-Christophe Calmes, URPS-Médecins libéraux d’Occitanie
Il succède au docteur Maurice Bensoussan, psychiatre à Colomiers (31) à la présidence de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS) Médecins libéraux d’Occitanie regroupant 12 400 médecins. D’origine aveyronnaise, Jean-Christophe Calmes (59 ans) exerce son activité à Frontignan (34). Il est président de la CPTS (communauté professionnelle territoriale de santé) du bassin de Thau dans l’Hérault depuis 2020.
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13 Juin 2021
MEDICAL : Jean-Christophe Calmes nouveau président de l’URPS
INFORMATION ECONOMIQUE MIDI PYRÉNÉES
Jean-Christophe Calmes remplace Maurice Bensoussan à la présidence de l’UNION REGIONALE DES PROFESSIONNELS DE SANTE MEDECINS LIBERAUX REGION OCCITANIE. Originaire de l’Aveyron, il exerce à Frontignan, dans l’Hérault.
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14 Juin 2021
Jean-Christophe Calmes, nouveau président de l’URPS-Médecins libéraux d’Occitanie
L’Union régionale des professionnels de santé (URPS)-Médecins libéraux d’Occitanie a élu son nouveau président en la personne de Jean-Christophe Calmes, 59 ans. Né en Aveyron, il exerce la médecine générale à Frontignan, dans l’Héraut (34).
D’abord en cabinet individuel, il crée en 2004 avec des associés une maison médicale qui devient une MSP (Maison de santé plurprofessionnelle) en 2018. Cette structure nommée Mistral Santé compte 106 professionnels.
Le mandat de Jean-Christophe Calmes sera de cinq ans. L’URPS Occitanie est un interlocuteur de l’Agence régionale de santé (ARS) qui regroupe 12.400 médecins libéraux répartis sur les treize départements de la région.
La Rédaction
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14 Juin 2021
Le docteur Calmes, médecin généraliste à Frontignan a été élu à la tête de l’Union Régionale des Professionnels de Santé (URPS) Médecins libéraux d’Occitanie.
L’URPS regroupe 12 400 médecins libéraux répartis sur les 13 départements de la Région. Il succède au docteur Maurice Bensoussan, psychiatre à Colomiers (31)
L’URPS, Union Régionale des Professionnels de Santé – Médecins libéraux d’Occitanie, que le docteur Calmes présidera pendant 5 ans, représente l’ensemble des médecins exerçant à titre libéral au sein de notre région.
Jean-Christophe Calmes, 59 ans, est né à Saint-Affrique dans l’Aveyron, il est marié et père de deux enfants. Docteur en médecine, spécialité médecine générale, il exerce son activité à Frontignan dans l’Hérault. Il a passé sa thèse en 1990 à Montpellier, où il a effectué toutes ses études. Il est aussi diplômé de médecine d’urgence (CAMU).
Le docteur Calmes a débuté sa carrière comme attaché puis comme assistant des hôpitaux de Montpellier de 1990 jusqu’en 1993, puis à Saint-Pierre de la Réunion comme responsable du service UHCD (Unité d’Hospitalisation de Courte Durée) jusqu’en 1995.
Il s’installe ensuite à Frontignan, en cabinet libéral individuel, puis s’associe et crée en 2004 avec ses associés une maison médicale qui devient une MSP (Maison de santé plutiprofessionnelle) en 2018. Cette structure Mistral Santé compte aujourd’hui 106 professionnels.
D’autres fonctions électives
Jean-Christophe Calmes exerce par ailleurs plusieurs fonctions électives :
• président de l’ACSF (Asso Coordination Santé Frontignan) de 2018 à 2020,
• président de la CPTS (Communauté professionnelle Territoriale de Santé) du bassin de Thau depuis 2020,
• vice-président du Syndicat MG France depuis 2015, puis Secrétaire Général Adjoint de 2018 à 2020.
L’URPS Occitanie est un interlocuteur privilégié de l’Agence Régionale de Santé (ARS), et contribue à l’organisation de l’offre de santé régionale. L’URPS Occitanie regroupe 12 400 médecins libéraux répartis sur les 13 départements de la Région.
Plus d’information sur le site de l’URPS : medecin-occitanie.org
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14 juin 2021
Frontignan : le Dr Calmes élu président de l’Union Régionale des Professionnels de Santé Médecins libéraux d’Occitanie
Le docteur Calmes, médecin généraliste à Frontignan a été élu à la tête de l’Union Régionale des Professionnels de Santé (URPS) Médecins libéraux d’Occitanie. L’URPS regroupe 12 400 médecins libéraux répartis sur les 13 départements de la Région. Il succède au docteur Maurice Bensoussan, psychiatre à Colomiers (31).
L’URPS, Union Régionale des Professionnels de Santé – Médecins libéraux d’Occitanie, que le docteur Calmes présidera pendant 5 ans, représente l’ensemble des médecins exerçant à titre libéral au sein de notre région.
Jean-Christophe Calmes, 59 ans, est né à Saint-Affrique dans l’Aveyron, il est marié et père de deux enfants. Docteur en médecine, spécialité médecine générale, il exerce son activité à Frontignan dans l’Hérault. Il a passé sa thèse en 1990 à Montpellier, où il a effectué toutes ses études. Il est aussi diplômé de médecine d’urgence (CAMU).
Le docteur Calmes a débuté sa carrière comme attaché puis comme assistant des hôpitaux de Montpellier de 1990 jusqu’en 1993, puis à Saint-Pierre de la Réunion comme responsable du service UHCD (Unité d’Hospitalisation de Courte Durée) jusqu’en 1995.
Il s’installe ensuite à Frontignan, en cabinet libéral individuel, puis s’associe et crée en 2004 avec ses associés une maison médicale qui devient une MSP (Maison de santé plutiprofessionnelle) en 2018. Cette structure Mistral Santé compte aujourd’hui 106 professionnels.
D’autres fonctions électives
Jean-Christophe Calmes exerce par ailleurs plusieurs fonctions électives :
• président de l’ACSF (Asso Coordination Santé Frontignan) de 2018 à 2020,
• président de la CPTS (Communauté professionnelle Territoriale de Santé) du bassin de Thau depuis 2020,
• vice-président du Syndicat MG France depuis 2015, puis Secrétaire Général Adjoint de 2018 à 2020.
L’URPS Occitanie est un interlocuteur privilégié de l’Agence Régionale de Santé (ARS), et contribue à l’organisation de l’offre de santérégionale. L’URPS Occitanie regroupe 12 400 médecins libéraux répartis sur les 13 départements de la Région.
Plus d’information sur le site de l’URPS : medecin-occitanie.org
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Occitanie: Jean-Christophe Calmes est le nouveau président de l’URPS médecins libéraux
Le Dr Jean-Christophe Calmes (59 ans), médecin généraliste à Frontignan (Hérault), a été élu le 5 juin président de l’union régionale des professionnels de santé (URPS) médecins libéraux Occitanie pour un mandat de cinq ans. Il succède à Maurice Bensoussan.Le nouveau bureau de l’URPS comprend en outre:
- 1er vice-président: Philippe Cuq
- 2e vice-président: Jérôme Marty
- secrétaire général: Laurence Safont
- 1er secrétaire général adjoint: Jean-Marc Laruelle
- 2e secrétaire général adjoint: François Escat
- Trésorier: Jérôme Liotier
- Trésorier adjoint: Cyrille Chaugne
Actualités de l’URPS médecins libéraux Occitaniesyl/ab/APMnews
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Le Quotidien du médecin
En Occitanie, les CPTS plutôt que le salariat !
Par Loan Tranthimy – Publié le 09/07/2021
Seul président MG France, le généraliste Jean-Christophe Calmes souhaite travailler dans un esprit d’ouverture et soutenir le déploiement des CPTS.
Pour cet Aveyronnais d’origine, l’élection d’un généraliste à la tête d’une région regroupant 12 400 médecins libéraux a été un signal fort. Au sein de cette URPS, seule à être pilotée par un élu MG France, il entend faire prévaloir l’esprit d’équipe, loin de tout esprit de revanche. « Profitons-en pour renforcer les liens entre généralistes, spécialistes de second recours, spécialistes hospitaliers, structures de soins, mais aussi social et médico-social », résume-t-il.
Le généraliste compte à cet égard sur la mobilisation de tous les élus de l’Union. « Il n’y a pas d’ostracisme, tous les syndicats sont représentés au bureau. » Le Dr Calmes est entouré par deux vice-présidents de poids, les Drs Jérôme Marty et Philippe Cuq, respectivement patron de l’UFML-S et du BLOC au niveau national. « Cela ne sera pas toujours facile. Mais on arrivera à trouver un dénominateur commun pour avancer. »
Dans cette région pas épargnée par la désertification médicale, la démographie est « la mère des batailles ». Et à ses yeux, l’attractivité du secteur libéral « passe par l’accompagnement des projets pour déployer l’exercice coordonné ». Lui-même président de la CPTS du bassin de Thau, il entend faire du développement de ces pools ambulatoires une priorité. Déjà, l’URPS accompagne 80 projets de CPTS, une dynamique qu’il souhaite « amplifier » en renforçant l’« excellente » initiative de son prédécesseur : le guichet unique pour accompagner les médecins porteurs de CPTS. « Je vais embaucher des chargés de projet à cet effet », confie-t-il.
Face à la volonté de la présidente socialiste de la région, Carole Delga, de salarier en masse des médecins, le Dr Calmes met le frein. « On ne peut pas décider de créer un centre de santé avec des médecins salariés dans un territoire où les libéraux sont en souffrance ! Cela va pousser les praticiens à déplaquer. »
Source : Le Quotidien du médecin