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Tous syndicats confondus, les libéraux sur le pont : interview 4/6, Audrey Borras

Entendre la voix des médecins en colère 4/6 > AUDREY BORRAS

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Audrey Borras : « Je travaille seule parce que mes associés sont partis à la retraite et je ne trouve pas de nouvel associé entre autres parce que le C n’est pas revalorisé« .

Cette généraliste audoise désabusée devant le glissement ininterrompu vers des consultations plus longues et plus nombreuses ne mâche pas ses mots face à la situation : « chaque médecin prend davantage de patients pour ne pas les laisser sur le carreau mais on ne s’occupe pas de 1800 patients comme on s’en occupait de 1500 ou de 1000… ». Et de terminer sur ce constat terrible : « on s’en occupe mal ».

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